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Les 8 règles alimentaires les plus importantes
Observez autour de vous : chaque fois qu’on vous parle d’un régime, il y a toujours à la clé :
- soit un livre à acheter (ou un CD ou un DVD) ;
- soit des sessions (payantes) à suivre ;
- soit des aliments d’une certaine marque (à acheter) ;
- soit un appareil pour faire des exercices (à acheter) ;
- et si vraiment on ne cherche pas à vous vendre directement quelque chose… c’est que vous écoutez la radio, la télévision, ou alors vous lisez un magazine ou un site Internet, et il y a partout, autour, avant et après, de la publicité… pour vous faire acheter !
Ainsi va le monde mais, pour une fois, vous allez pouvoir lire un avis totalement désintéressé sur les régimes.
La plupart des régimes sont basés sur le marketing, mais il y en a un qui est basé sur la science, et il s’agit du régime paléolithique. Il consiste à manger autant que possible ce que mangeaient nos ancêtres avant l’invention de l’agriculture. L’agriculture, et donc la consommation de céréales, n’ont commencé pour la plupart des hommes qu’il y a 5 000 ans, ce qui est extrêmement court à l’échelle de la vie de l’humanité. Ce n’est absolument pas assez pour avoir permis à nos organismes de s’adapter, par rapport aux millions d’années où nos ancêtres chasseurs-cueilleurs se nourrissaient de gibier, poissons, fruits, légumes, œufs, crustacés, noix de toutes sortes, graines, racines, et certaines feuilles, fleurs, bourgeons.
Ils n’avaient aucun moyen de récolter ni de produire de grandes quantités de farine et donc manger beaucoup de pain, pâtes, biscuits et viennoiseries n’était tout simplement pas possible. Le gibier quant à lui n’était pas élevé en batterie, et n’était pas nourri au maïs. Les poules elles-mêmes ne picoraient pas du grain ni du tourteau de soja, comme aujourd’hui, mais grattaient la terre à la recherche de vers, de graines et de végétaux.
Sur la base du mode alimentaire de nos ancêtres, donc, voici huit règles pour bien vous nourrir et être en bonne santé. A noter que, accessoirement, suivre ces règles vous fera rejoindre votre poids idéal, donc grossir si vous êtes trop maigre, et maigrir si vous êtes trop gros.
Règle n°1 : connaître la différence entre bons et mauvais glucides
Ce point est absolument capital, d’autant plus que nous avons été matraqués pendant les années 80 et 90 par la distinction sucres lents/sucres rapides, dont on sait aujourd’hui qu’elle ne correspondait à rien.
Nous avons par exemple appris que la baguette, la pomme de terre et les pâtes sont des « sucres lents ».
En réalité, ces trois aliments figurent parmi ceux qui se transforment le plus rapidement en glucose dans notre intestin. Ils font monter votre taux de sucre sanguin pratiquement aussi vite que le sirop de glucose pur, même s’ils sont faits à partir de céréales complètes. Leur consommation augmente le taux d’insuline et le stockage de mauvaises graisses, notamment les graisses abdominales et viscérales, catastrophiques pour la santé. Elles augmentent la résistance à l’insuline et peuvent conduire au diabète, au syndrome métabolique (obésité, diabète et problèmes cardiovasculaires).
La plupart des céréales contiennent de plus du gluten, qui peut provoquer une inflammation chronique et endommager le système intestinal, conduisant à une malabsorption des nutriments essentiels (vitamines, minéraux, acides gras essentiels), et donc potentiellement une dénutrition. La dénutrition entraîne à son tour un risque élevé de maladies chroniques.
Allons droit au but : votre corps et votre cerveau ont besoin de glucides, ils ont même besoin de beaucoup de glucides. Mais la meilleure source de glucides sont les légumes, légumes feuilles en particulier, toutes les sortes de chou, les légumes-racines et les tubercules comme l’igname et les patates douces. Mangez des légumes à chaque repas. Si vous ne savez pas comment les préparer, vous pouvez toujours les placer dans un cuiseur vapeur, saupoudrés d’herbes, d’épices, de sel et de poivre, et d’un filet d’huile d’olive.
Les autres très bonnes sources de glucides sont les fruits, en particulier les petits fruits rouges et noirs. Préférez toujours les fruits entiers aux jus de fruit.
En revanche, les céréales, les glucides transformés industriellement (biscuits, sirops, gâteaux, bonbons, barres de céréales, barres chocolatées, céréales du petit-déjeuner) et bien sûr le sucre (blanc ou brun) doivent être consommés aussi rarement que possible.
Règle n°2 : des protéines et des fibres à chaque repas
Les protéines de sources de bonne qualité, comme les viandes de bovins nourris à l’herbe, les œufs bio, le poisson et les crustacés sont à privilégier. Évitez le poisson d’élevage et la viande de bêtes engraissées aux céréales.
Pour les fibres, mangez des légumes frais, bios, tantôt crus et tantôt cuits car certains composés antioxydants sont mieux absorbés après la cuisson et certains composés anticancer sont détruits à la chaleur. Accompagnez toujours vos légumes de matières grasses, par exemple un filet d’huile d’olive ou de colza, qui permettent d’absorber encore plus de polyphénols et d’antioxydants.
Règle n°3 : méfiez-vous des sucres cachés
La plupart des condiments et sauces toutes faites contiennent du sucre ou du sirop de glucose. Par exemple le ketchup, les vinaigrettes « allégées », les sauces cocktails et marinades, et bien entendu les glaces et sodas.
Lisez les étiquettes de vos produits. Les industriels ont tendance à ajouter du sirop de glucose partout parce que c’est extrêmement bon marché, les produits se conservent bien, se transportent bien. Mais pour vous, par contre, c’est un produit à fuir absolument.
Les édulcorants artificiels sur le marché posent d’autres problèmes. Ce sont des produits chimiques qui n’ont en général rien de bon à faire dans nos organismes et mieux vaut donc les éviter aussi. La bonne nouvelle est que le sucre est addictif. Plus vous en mangez, plus vous en avez besoin, mais l’inverse est vrai également. A force de manger moins sucré, vous supporterez de moins en moins bien le sucre, et c’est naturellement, sans faire d’effort, que vous chercherez à l’éviter.
En revanche, aucun problème pour mettre une goutte de stévia dans votre café le matin, ou quand vous avez besoin d’une touche sucrée dans un plat.
Règle n°4 : évitez les conserves et les bouteilles en plastique
Elles contiennent du bisphénol A ou des composés proches, qui ont des effets cancérigènes, et qui perturbent le système hormonal.
Choisissez des produits frais ou surgelés.
Règle n°5 : mangez des œufs
Mangez des œufs, et oubliez tout le mal qu’on a raconté sur les jaunes d’œufs. Oui, ils sont riches en cholestérol mais votre cholestérol sanguin est fabriqué par votre foie, à partir du glucose, et n’est pratiquement pas influencé par votre consommation de nourriture riche en cholestérol.
En revanche, les jaunes d’œufs contiennent des antioxydants, des micronutriments, des vitamines liposolubles, et favorisent la production d’hormones qui brûleront vos graisses en excès.
Au petit-déjeuner, rien de meilleur que des petits légumes rapidement passés à la poêle avec un peu d’huile de coco, puis deux œufs que vous ferez brouiller, ou alors en omelette.
Règle n°6 : des herbes et des épices partout
Les herbes aromatiques et les épices sont bourrées d’antioxydants, bien plus encore que beaucoup de légumes et de fruits. De plus, elles donnent un bon goût à ce que vous mangez, ce qui réduit votre recherche de satisfaction gustative dans les biscuits apéritifs, desserts et bonbons.
Le gingembre, le curcuma, le paprika, la cannelle, la cardamome, le cumin s’accommodent avec un nombre incroyable de plats. Essayez-les partout, y compris dans vos soupes, salades, viandes en sauce, plats de légumes.
Règle n°7 : évitez les huiles de maïs, de tournesol, de soja, de carthame, de germe de blé et de pépin de raisin
Riches en oméga-6 inflammatoires, ces huiles sont de pauvre qualité nutritionnelle.
Préférez l’huile d’olive, l’huile de colza, l’huile de noix, et explorez toutes les sortes de vinaigre pour varier les goûts de vos vinaigrettes. Pour la cuisson, utilisez du saindoux ou, mieux, de l’huile de coco vierge ou de palmiste, qui supportent mieux la cuisson grâce à leur haute teneur en acides gras saturés. Vous pouvez aussi assaisonner avec les huiles de lin ou de cameline, riches en oméga-3, à condition de ne jamais les faire chauffer car la chaleur oxyde ces graisses et les rend toxiques.
Règle n°8 : augmentez vos apports en vitamine D
La vitamine D est le nutriment le plus important. Plus de 80 % des Français sont en-dessous du niveau minimum pour être en bonne santé, qui est de 30 ng/mL. Le taux optimum se situe, lui, entre 50 et 65 ng/mL.
Les jaunes d’œufs, les poissons gras, les abats sont les meilleures sources alimentaires de vitamine D, mais elles ne suffisent quasiment jamais. La seule vraie solution est de s’exposer au soleil tous les jours pendant au moins 20 mn sur au moins 3/4 de la peau, mais encore ceci n’est-il pas suffisant à la latitude de la France car, l’hiver, les rayons du soleil sont de toute façon trop obliques. Seul un complément alimentaire de vitamine D3 (au minimum 4 000 UI par jour pour un adulte) vous permettra de maintenir le bon taux.
C’est un vaste programme, je sais bien, mais commencez par intégrer tout doucement les changements que vous pouvez dans votre mode de vie.
Et de toute façon, comptez sur moi pour continuer à être à vos côtés pour vous rappeler à temps et à contre-temps de prendre soin de votre santé.
A votre santé !
Jean-Marc Dupuis
Groupes sanguins
En bref
Perte de poids
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Parfois oui, parfois non.
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Choix d’aliments
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Variété limitée pour les groupes O, A et B.
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En pratique
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Besoin de beaucoup de motivation pour être suivi surtout pour les groupes A et O.
Modérément facile à suivre à court terme, difficile à long terme.
Assez difficile à suivre à l’extérieur de chez soi.
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Attention
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Selon les groupes, déficits possibles.
Groupe O : Calcium, vitamine D, fibres céréalières, vitamines B1, B2, B3, B9
Groupe A : Fer, protéines
Groupe B : Fibres céréalières, vitamines B1, B2, B3, B9, magnésium
Groupe AB : en principe, aucune
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Les origines
Les grands principes
Les objectifs
- Prévenir plusieurs affections virales et bactériennes.
- Perdre du poids.
- Lutter contre les maladies cardiovasculaires, le cancer, le diabète, protéger le foie, etc.
- Ralentir le processus de vieillissement de l’organisme.
Les grandes lignes
- L’hypothèse de ce régime est basée sur le fait que chaque type de sang possède une composition chimique particulière, dont des antigènes différents. Or, certains composés chimiques propres aux aliments pourraient, selon l’hypothèse d’Adamo, stimuler ces antigènes à produire des anticorps causant alors des dommages à l’organisme. Par conséquent, le régime recommande de manger seulement les aliments qui conviennent à notre groupe sanguin.
- Les groupes sanguins se sont différenciés au fil des millénaires. Sommairement, selon cette hypothèse, les gens du groupe O – le seul groupe sanguin présent du temps des hommes chasseurs-cueilleurs – tolèrent mal les produits céréaliers et devraient consommer beaucoup de protéines animales. Le groupe sanguin A, qui est apparu au moment de la découverte de l’agriculture, appelle une alimentation végétarienne. Les hommes et les femmes du groupe B– trouvé d’abord chez les peuples nomades – pourraient consommer une plus grande variété d’aliments, de même que ceux du groupe AB.
- Dans les quatre groupes sanguins, certains aliments sont à proscrire (en fonction de leur composition chimique), même s’ils sont sains. Les personnes des groupes B et AB, par exemple, peuvent consommer de la dinde mais pas de poulet!
- Pour chaque groupe sanguin, les aliments sont classés de la manière suivante :bénéfiques, neutres, à éviter. La recommandation consiste à consommer surtout les aliments très bénéfiques, très peu d’aliments neutres et aucun aliment à éviter.
- Enfin, tous les groupes sanguins devraient bannir le porc, le saumon fumé, la rhubarbe, le son de blé, la noix de coco, la crème glacée, les huiles de maïs et d’arachides, le poivre noir et le vinaigre.
- En plus de nous dicter quels aliments consommer et lesquels mettre de côté, Peter D’Adamo décrit le tempérament selon le groupe sanguin, les activités physiques à privilégier, les suppléments alimentaires à prendre et même le style de vie à adopter.
Aliments pouvant ou non être consommés
Aliments
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Groupe O
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Groupe A
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Groupe B
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Groupe AB
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Boeuf
Poulet
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Oui
Oui
|
Non
Oui
|
Oui
Non
|
Non
Non
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Poissons, Crustacés, Mollusques
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Oui
|
Oui
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Oui
|
Oui
|
Oeufs
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Oui
|
Oui
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Oui
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Oui
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Arachides
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Non
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Oui
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Oui
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Oui
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Soya
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Oui
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Oui
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Non
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Oui
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Légumineuses
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Non
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Oui
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Oui
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Non
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Blé
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Non
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Non
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Non
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Oui
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Maïs
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Non
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Oui
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Non
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Non
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Orange
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Non
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Non
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Oui
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Non
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Légumes
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Oui
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Oui
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Oui
|
Oui
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Fines herbes
|
Oui
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Oui
|
Oui
|
Oui
|
Noix, graines
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Oui
|
Oui
|
Oui
|
Oui
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Produits laitiers
|
Non
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Oui
|
Oui
|
Oui
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Les mécanismes d’action
Menu type d’une journée pour chaque groupe sanguin
Groupe O
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Groupe A
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Groupe B
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Groupe AB
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Repas du matin
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Pain de blé germé
Boisson de riz
Figues et ananas
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Gruau
Boisson de soya
Pamplemousse
Café
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Gruau de quinoa
Boisson d’amande
Jus d’orange
Graines de lin
Café
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Rôties de pain d’épeautre
Beurre d’acajou
Framboises
Thé vert
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Repas du midi
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Boeuf haché
Brocoli
Riz brun
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Jus de carotte
Salade de haricots noirs
Pain de seigle
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Filet de flétan
Riz brun
Haricots verts, chou-fleur, carotte
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Soupe aux lentilles
Craquelins d’épeautre
Céleri et carotte en crudités
Bleuets
Yogourt
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Repas du soir
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Saumon
Salade d’épinards avec huile d’olive et jus de citron
Pruneaux
Thé vert
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Tofu
Millet
Salade de chou
Fraises
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Bison haché
Pomme de terre
Salade avec laitue , concombre, oignon, luzerne et huile d’olive
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Dinde
Riz sauvage
Asperges
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Rigoureusement suivi, le régime selon les groupes sanguins comprend assez de choix d’aliments sources de protéines pour atteindre la satiété – à condition, bien entendu, d’aimer et de savoir apprêter les aliments permis.Satiété et bien-être
- Carences nutritionnelles. Sauf pour les gens du groupe AB, ce régime peut mener à plusieurs carences si on connaît peu la valeur nutritive des aliments. Une personne du groupe O, par exemple, est censée éviter les produits laitiers de la vache, ce qui risque d’entraîner une carence en calcium, à moins qu’elle les remplace par beaucoup de brocoli, de chou chinois, d’amandes et de graines de sésame ainsi que de boisson de riz.
Groupe Sanguin
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Carences possibles
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O
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Calcium, vitamine D, fibres céréalières, vitamines B1, B2, B3, B9, magnésium
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A
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Fer, protéines
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B
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Fibres céréalières, vitamines B1, B2, B3, B9, magnésium
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AB
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En principe, aucune
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- Maladies cardiovasculaires. Le régime pour le groupe O comprend beaucoup de viandes rouges, ce qui pourrait augmenter les risques de maladies cardiovasculaires et de cancer de la prostate.
- Baisse de performance. Les personnes du groupe O qui pratiquent un entraînement régulier ou des activités d’endurance (ski de fond, randonnée en montagne, etc.) pourraient connaître une baisse de performance en raison d’une faible consommation de glucides.
- Manque de fibres. Le faible apport en céréales, donc en fibres alimentaires, dans le régime des groupes O et B pourrait entraîner de la constipation et augmenter le risque de développer certains cancers.
- Diabétiques. Dans le groupe O, l’apport élevé en protéines pourrait, à long terme, s’avérer problématique pour les reins, en particulier chez les personnes diabétiques.
- Frustration. De nombreux aliments très appréciés (exemple le yogourt, le fromage, les produits de boulangerie) ne peuvent être consommés qu’en petite quantité pour certains groupes sanguins, ce qui peut générer de la frustration et faire basculer dans une crise d’excès difficile à contrôler.
Mon commentaire
Rédaction : Hélène Baribeau, nutritionniste, Dt.P., M.Sc.
Fiche créée : décembre 2005 |
En l’absence d’étude clinique démontrant clairement un impact positif de manger selon son groupe sanguin, je ne peux endosser cette approche.
De plus, ce que je reproche à ce régime, c’est qu’il n’encourage pas la découverte et la connaissance de soi, parce qu’il dicte non seulement quels aliments manger, mais aussi quels exercices faire et même quel mode de vie privilégier!
Les seuls points positifs que je trouve à ce régime sont qu’il :
-incite à consommer des aliments qui ne nous sont pas familiers, ce qui encourage la variété;
-restreint la consommation d’aliments raffinés.
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RéférencesBibliographie
Extenso (Consulté le 4 novembre 2005).
Gaby, Alan MD. Book Review: The Blood Type Diet. Nutrition & Healing Newsletter. Phoenix, AZ: Nutrition & Healing, January 1998, p. 7. Klaper, Michael MD. “Challenges to the Plant-Based Diet in the 90’s : “The Zone” and “Blood-Type” Diet Fads”. D’Adamo, Peter J. 4 groupes sanguins 4 régimes. Édition du Roseau. Canada, 1999. Vago Karen, Degrémont, Lucy. Mangez mieux selon votre groupe sanguin. Les éditions de l’Homme. Canada, 2003. D’Adamo, Peter J. 4 groupes sanguins, 4 modes de vie. Éditions Michel Lafond, 2002, France. Effiscience, Canada, 2003. |
>Vaincre la douleur par l’alimentation
>
Par André Fauteux
La Dre Jacqueline Lagacé, Ph. D. ne pouvait plus se servir normalement de ses mains. Elle n’arrivait plus à les refermer à cause de l’arthrose, une forme d’arthrite qui provoquait chez elle des douleurs chroniques insupportables et de l’insomnie grave. Professeure d’immunologie et de microbiologie et directrice d’un laboratoire de recherche dans ces mêmes domaines à la Faculté de médecine de l’Université de Montréal de 1986 à 2003, Dre Lagacé a dû prendre sa retraite en 2003 pour des raisons de santé. À partir de 2004, ses symptômes se sont aggravés davantage. Elle a vécu l’enfer pendant trois ans en raison de cette maladie qui présentait plusieurs caractéristiques de la polyarthrite rhumatoïde et pour laquelle « la médecine traditionnelle s’était avérée complètement impuissante », comme elle le décrit dans son récent livre, Comment j’ai vaincu la douleur et l’inflammation chronique par l’alimentation (Éd. Fidès, 2011).
En 2007, cette scientifique découvre le site Internet du Dr Jean Seignalet (1936-2003). Ce chirurgien français, pionnier de la transplantation rénale, chercheur spécialisé en immunologie, en rhumatologie et en nutrithérapie, est l’auteur du célèbre livre L’Alimentation ou la troisième médecine, dont la dernière édition fut publiée en 2004. Le Dr Seignalet préconise un retour à une alimentation de type ancestral. Son régime repose sur une approche essentiellement qualitative de la diététique. Il écarte les aliments qu’il considère potentiellement nocifs pour l’organisme humain : tous les produits laitiers d’origine animale et toutes les céréales à l’exception du riz, du sarrasin et des graines de sésame. Il démontre le danger des aliments cuits à haute température (à partir de 110 °Celsius, soit 230 °Fahrenheit) en raison des glycotoxines qui se forment lors de la cuisson des protéines de la plupart des céréales et des aliments d’origine animale. Finalement, il privilégie les aliments biologiques.
« Il a consacré les dix-huit dernières années de sa carrière de médecin-chercheur à élaborer et à tester une méthode nutritionnelle capable d’aider réellement à combattre la douleur chronique et à contrôler l’évolution de plusieurs maladies inflammatoires », raconte Jacqueline Lagacé dans son livre. Le Dr Seignalet a traité quelque 2 500 patients atteints de 115 maladies inflammatoires chroniques. Son régime nutritionnel a eu un effet positif sur 91 de ces maladies, et sur environ 80 % des patients qui l’ont suivi correctement. « Il a ainsi observé chez la grande majorité des patients traités une rémission de la maladie ainsi qu’une disparition généralement totale de la douleur. »
Exaspérée de souffrir, n’ayant plus rien à perdre et trouvant les arguments scientifiques du Dr Seignalet plausibles, cette chercheuse curieuse décide de suivre son régime. Elle abandonne complètement la consommation quotidienne de produits laitiers et de céréales, y compris celles de grains entiers, soit « les deux variétés d’aliments désignés comme cofacteurs susceptibles de déclencher des maladies inflammatoires chroniques lorsqu’il y a prédisposition génétique ».
Come elle avait essuyé plusieurs échecs avec les traitements pharmacologiques qu’elle avait essayés, les attentes du Dr Lagacé n’étaient pas très élevées. « La surprise fut donc totale, avoue-t-elle, lorsque j’ai constaté après seulement 10 jours de cette nouvelle alimentation que mes douleurs aux mains avaient complètement disparues. » Pendant les seize mois suivants, elle réussit graduellement à plier les différentes articulations de ses doigts sans avoir fait aucun exercice d’assouplissement. Elle constate de plus des améliorations importantes dans les articulations de ses genoux et de sa colonne vertébrales, atteints d’arthrose depuis plusieurs années.
Une synthèse remarquable
Ces résultats ont motivé le Dr Lagacé à entreprendre la vulgarisation des enseignements du Dr Seignalet dont le livre, qui comptait 600 pages, était peu accessible au grand public car trop technique. C’est là tout le génie de cette auteure québécoise, tel que le décrit dans la préface du livre le Dr Christine Angelard, médecin d’origine française qui est également spécialisée en médecine traditionnelle chinoise, en homéopathie et en naturopathie : « Madame Lagacé nous livre ici un superbe travail proposant des outils pratiques qui permettent d’entrevoir la lumière au bout du tunnel de la douleur et de la chronicité… Après avoir lu ce livre, vous saurez que votre santé dépend en bonne partie de vous, et de vous uniquement. »
Cet ouvrage, avec ses 460 notes bibliographiques, est des plus convaincants puisqu’il témoigne des nombreuses études qui ont confirmé les découvertes du Dr Seignalet. Ce livre s’adresse avant tout aux gens qui souffrent de maladies inflammatoires chroniques (arthrite, asthme, colite, diabète de type 2, eczéma, gastrite, maladie coeliaque, maladie de Crohn, sclérose en plaques, tendinite, etc.), ainsi qu’aux professionnels qui les traitent. Ceci pour « leur redonner une qualité de vie qu’ils ne croyaient plus possible ».
On savait déjà que la génétique, les accidents, les infections, les polluants, les chocs émotifs et les habitudes de vie pouvaient nuire à la santé. Jacqueline Lagacé nous apprend que l’alimentation moderne basée sur la consommation de produits laitiers, de céréales, de grandes quantités de viande et d’aliments transformés acidifie l’organisme, ce qui provoque de l’acidose métabolique. « L’acidose métabolique, explique-t-elle, est impliquée dans le développement des maladies d’inflammation chronique. En fait, tous ces aliments que nos enzymes digestives n’arrivent pas à digérer complètement rendent l’intestin grêle encore plus perméable aux grosses molécules provenant des microbes de ces aliments qui deviennent alors toxiques et se répandent dans le sang puis dans tout le corps où elles font des ravages en induisant des phénomènes d’inflammation chronique. »
Aujourd’hui, l’organisme du Dr Lagacé est si bien désencrassé qu’elle peut se permettre de consommer, de façon ponctuelle toutefois, certains aliments proscrits par son alimentation hypotoxique, et ce, sans effet négatif sur sa santé. Toutefois, elle doit toujours éviter ses pires ennemis, les produits laitiers, à l’exception des fromages au lait crû. « À l’été 2009, j’ai éprouvé de la douleur douze heures après avoir mangé un seul gros cornet de crème glacée molle », raconte-t-elle.
Bref, il revient à chaque individu d’être à l’écoute de son corps et de respecter les sensibilités qui lui sont propres. « En conclusion, termine la chercheure, les sacrifices que m’impose le régime hypotoxique ne sont rien en comparaison des bienfaits qu’il m’apporte. »
Un menu santé anti-inflammatoire
Voici les aliments privilégiés par le régime hypotoxique du Dr Jean Seignalet :
• Riz (brun de préférence), sarrasin, sésame, quinoa et tapioca.
• Tous les légumes, de préférence de culture biologique et idéalement mangés crus ou après une cuisson à la vapeur douce.
• Fèves, haricots blancs ou rouges, lentilles, pois et pois chiches.
• Tous les fruits, dont les fruits secs mangés crus.
• Graines germées de soja, de lentilles, de pois chiches, de haricots, de luzerne et de riz.
• Probiotiques sous forme de yaourt à base de soja ou de riz (tel le Bio-K+) ou sous forme de capsules entérosolubles.
• Poissons gras (saumon, flétan, hareng, maquereau, anchois, sardines, etc.) et la viande blanche.
• Huiles vierges (d’olive, de noix, de canola, de soja, etc.) utilisées crues.
• Sucres complets (miel, sirop d’érable, sucre brun non raffiné) et chocolat noir idéalement cru, mais consommés en petite quantité.
• Eau, boissons à base de riz, d’amande et modérément de soja, ainsi que les eaux minérales riches en calcium et en bicarbonate et pauvres en sulfate. Préférer le soja fermenté (miso ou natto). Le café, le thé et l’alcool (autre que la bière) en quantité raisonnable et privilégier la chicorée, excellente pour la digestion et l’élimination des déchets.
• Tous les condiments y compris le sel complet (de l’Himalaya, par exemple) en dose modérée.
• Des suppléments de vitamine D pour compenser le manque de soleil dans notre climat.
Source : Lagacé, Jacqueline, Comment j’ai vaincu la douleur et l’inflammation chronique par l’alimentation, Éditions Fidès, 2011, 24,95 $, 300 pages.
Arthrite rhumatoïde et alimentation
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Recommandations généralesL’arthrite rhumatoïde est une maladie qui provoque une inflammation chronique de la membrane entourant les articulations (membrane synoviale). On la dit « auto-immune » parce que c’est le système immunitaire de la personne elle-même qui s’attaque aux tissus des articulations. On n’a pas réussi à identifier une cause précise. Les spécialistes pensent qu’elle est attribuable à un ensemble de facteurs environnementaux, génétiques et biologiques.
Capsule tirée de l’émissionBonheur total
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- réduire l’inflammation,
- améliorer le fonctionnement du système immunitaire,
- ajuster l’équilibre de la flore intestinale.
Réduire l’inflammation
Teneur en AEP et ADH de différents poissons, fruits de mer11 et suppléments.
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POISSONS
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PORTION
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AEP + ADH
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Maquereau bleu
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150 g
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3450 mg
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Saumon de l’Atlantique (élevage)
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150 g
|
2870 mg
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Truite grise
|
150 g
|
2400 mg
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Hareng de l’Atlantique
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150 g
|
2354 mg
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Flétan du Groenland
|
150 g
|
1376 mg
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Sardines en conserve (dans l’huile)
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150 g
|
980 mg
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Crevettes
|
150 g
|
717 mg
|
Morue
|
150 g
|
274 mg
|
Pétoncles
|
150 g
|
130 mg
|
Capsule d’huile de poisson
|
1
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De 300 mg à 600 mg
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- Huile de pépins de raisin
- Huile de soya
- Huile de tournesol
- Huile de carthame
- Huile de maïs
- Huile de germe de blé
Améliorer le fonctionnement du système immunitaire
COULEUR
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FRUITS ET LÉGUMES RICHES EN ANTIOXYDANTS
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Mauve et bleu
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Bleuets, prune, pruneau, mûres, chou rouge, aubergine, raisins, betterave.
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Orange
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Carotte, cantaloup, mangue, patate douce, poivron orange.
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Vert
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Brocoli, chou de Bruxelles, chou chinois, pois mange-tout, épinards, haricots verts, asperges, artichaut, kiwi
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Rouge
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Fraises, framboises, pomme, tomate, poivron rouge.
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Blanc
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Ail, oignon, chou-fleur, poireau, échalote.
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Jaune
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Banane, poivron jaune, navet, panais, poire, pamplemousse.
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- un fruit ou un légume de la grosseur d’une balle de tennis;
- 125 ml (1/2 tasse) de fruits ou de légumes, frais ou surgelés;
- 250 ml (1 tasse) de légumes en feuilles (laitue, épinards, etc.);
- 125 ml (1/2 tasse) de vrai jus, non additionné de sucre;
- 50 ml (1/4 tasse) de fruits séchés.
Teneur de quelques aliments en vitamine D
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ALIMENTS
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PORTION
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UI*
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Huile de foie de morue
|
1 c. à soupe
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2040
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Saumon cuit
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150 g
|
540
|
Maquereau cuit
|
150 g
|
520
|
Sardines en conserve dans l’huile
|
150 g
|
405
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Anguille cuite
|
150 g
|
300
|
Lait enrichi de vitamine D (écrémé ou pas)
|
250 ml
|
98
|
Margarine enrichie de vitamine D (non hydrogénée)
|
1 c. à soupe
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60
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Jaune d’oeuf
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1
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25
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Source : USDA Nutrient Database for Standard Reference, Release 14, 2001.
Équilibrer la flore intestinale
À PRIVILÉGIER
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À LIMITER
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Riz brun, riz sauvage, blé entier, orge, millet, sarrasin, quinoa, kamut, épeautre, avoine, seigle, teff, amarante, couscous complet, boulgour, crème de blé entière, céréales à déjeuner complètes et très faibles en sucre.
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Gruau instantané, céréales à déjeuner sucrées, couscous, crème de blé, riz blanc.
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Desserts faits à partir de farines complètes.
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Pâtisseries et desserts faits de farine blanche, même enrichie.
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Pain complet (sans sucre) fait de différentes farines ou multigrains, pâtes complètes, pâte à tarte avec farine complète, produits de boulangerie avec farine complète (pain pita de blé entier, craquelins de seigle, etc.).
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Pain blanc, pâtes blanches, pâte à tarte, produits de boulangerie faits de farine blanche, même enrichie (bagel, croissant, pain pita, craquelins, etc.).
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- Yogourt
- Fromage à pâte lactique (dama blanc, ricotta, cottage, fromage de chèvre à tartiner)
- Kéfir
- Choucroute
- Légumes lactofermentés
- Rejuvelac (jus d’herbe de blé fermenté)
- Amasaké (boisson de riz brun sucré fermenté)
- Miso
- Tempeh
De bons trucs
- En faisant des vinaigrettes avec de l’huile d’olive, de l’huile de poisson aromatisée au citron et du jus de citron, on obtient tous les bons gras en une seule portion.
- Les légumineuses et le poisson en conserve sont des aliments de bonne qualité et faciles à apprêter.
- À tout moment de l’année, on peut se procurer des petits fruits (bleuets, mûres, framboises,fraises) congelés et non sucrés; on les fait décongeler lentement au réfrigérateur et on les ajoute aux céréales ou à du yogourt nature.
- Gardez un sac de noix au travail : un fruit et une petite poignée de noix font une excellente collation.
- Ajoutez à vos salades une petite quantité de légumes lactofermentés que l’on trouve dans les magasins d’aliments naturels.
Fiche créée : septembre 2005
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RéférencesNote : les liens hypertextes menant vers d’autres sites ne sont pas mis à jour de façon continue. Il est possible qu’un lien devienne introuvable. Veuillez alors utiliser les outils de recherche pour retrouver l’information désirée.
1. Pattison DJ, Symmons DP, Young A. Does diet have a role in the aetiology of rheumatoid arthritis?Proc Nutr Soc. 2004 Feb;63(1):137-43.
2. Berbert AA, Kondo CR, Almendra CL, et al. Supplementation of fish oil and olive oil in patients with rheumatoid arthritis. Nutrition. 2005 Feb;21(2):131-6. 3. Skoldstam L, Hagfors L, Johansson G. An experimental study of a Mediterranean diet intervention for patients with rheumatoid arthritis. Ann Rheum Dis. 2003 Mar;62(3):208-14. 4. Nenonen MT, Helve TA, et al. Uncooked, lactobacilli-rich, vegan food and rheumatoid arthritis. Br J Rheumatol. 1998 Mar;37(3):274-81. 5. Kjeldsen-Kragh J. Rheumatoid arthritis treated with vegetarian diets. Am J Clin Nutr. 1999 Sep;70(3 Suppl):594S-600S. 6. Hafstrom I, Ringertz B, et al. A vegan diet free of gluten improves the signs and symptoms of rheumatoid arthritis: the effects on arthritis correlate with a reduction in antibodies to food antigens.Rheumatology (Oxford). 2001 Oct;40(10):1175-9. 7. Peltonen R, Kjeldsen-Kragh J, et al. Changes of faecal flora in rheumatoid arthritis during fasting and one-year vegetarian diet. Br J Rheumatol. 1994 Jul;33(7):638-43. 8. Peltonen R, Nenonen M, et al. Faecal microbial flora and disease activity in rheumatoid arthritis during a vegan diet. Br J Rheumatol. 1997 Jan;36(1):64-8. 9. Grant W.B. The role of meat in the expression of rheumatoid arthritis. British Journal of Nutrition, November 2000, vol. 84, no. 5, pp. 589-595(1) 10. Merlino LA, Curtis J, et al. Vitamin D intake is inversely associated with rheumatoid arthritis: results from the Iowa Women’s Health Study. Arthritis Rheum. 2004 Jan;50(1):72-7. 11. Lepage Maryse, Lucas Michel, Baribeau Hélène. Santé La Gaspésie. Malisan inc. Canada, 2003. |
Cancer du pancréas: le fructose alimenterait les cellules cancéreuses
Voici 10 aliments sous-estimés ou surévalués
Les aliments sous-estimés
Les graines de tournesol
Le yogourt sans sucre
Le melon d’eau
Le pois chiche
Le légume-feuille
Les aliments surévalués
Les céréales de type muesli
Les barres énergétiques (Power bar)
Le jus de légumes
Le couscous assaisonné
Les boissons fouettées (smoothies)
10 aliments pour bien nourrir votre cerveau
Les nourritures riches en zinc sont bonnes pour le cerveau. L’Agence européenne de sécurité alimentaire a récemment décerné la médaille de la fonction cognitive au zinc. Ce dernier est en effet bénéfique pour l’hippocampe, la partie du cerveau qui nous aide à nous rappeler où nous allons et pourquoi. Une portion de crabe contient la moitié de l’apport quotidien recommandé en zinc. Bon, où on allait, au fait ? Ah oui ! À la plage, pêcher du crabe…
La mémoire pourrait être boostée par une substance présente dans le soja, qui « imite » les oestrogènes. C’est pourquoi les femmes parviennent à se souvenir de la plus futile des indiscrétions… Une étude du British Journal of Nutrition a établi que les hommes ayant absorbé des pilules d’isoflavone de soja pendant six semaines ont amélioré de manière significative leur mémoire. Buvez du lait du soja et jamais plus vous n’oublierez un anniversaire.
Prendre des oméga-3 pour le cerveau ne sert à rien, en revanche un autre élément présent dans le poisson, le sélénium, s’est avéré bénéfique pour l’humeur, ainsi que pour le sperme. Une étude britannique publiée dans Biological Psychiatry montre qu’une dose quotidienne de 100 mcg améliore sensiblement l’humeur et combat l’anxiété. Or un cerveau heureux est plus productif. Les sardines sont une excellente source de sélénium : une boîte satisfait 80 % des besoins quotidiens.
Soignez vos cellules grises grâce à un des antioxydants naturels les plus efficaces, la vitamine C. Selon un article paru dans le Journal of the American Medical Association, les hommes qui mangent beaucoup de fruits riches en antioxydants sont moins susceptibles de perdre leurs capacités mentales avec l’âge. Alors, n’hésitez pas à ajouter une poignée de myrtilles ou de fraises pour agrémenter les céréales de votre petit déjeuner.
Une tasse de thé matinale remonte le moral grâce à la présence de flavonoïdes et de L-théanine. Mais pas seulement : une étude menée sur plus de 2 000 Norvégiens a observé que les performances mentales sont supérieures chez ceux qui ont bu le plus de thé. « Les meilleurs effets ont été obtenus avec quatre tasses par jour », selon le Tea Advisory Panel. Ne reste plus qu’à expliquer à votre patron que votre pause-thé booste vos performances. Même si vous n’êtes pas norvégien.
La viande rouge est une des principales sources de fer. Une étude conduite à l’hôpital universitaire d’Assiout, en Égypte, a constaté que des hommes (jeunes, en l’occurrence) présentant une carence en fer améliorent leur QI à partir du moment où ils se mettent à en absorber plus. À vos barbecues !
Si votre bureau est couvert de post-it, buvez du jus de raisin. Une étude présentée à la Conférence internationale sur les polyphénols et la santé a prouvé que la capacité à se souvenir de listes d’éléments s’améliore après douze semaines de consommation de jus de raisin. « La mémoire à court terme a également progressé », remarque le chef d’équipe Robert Krikorian. Malheureusement, on ne peut pas en dire autant avec une autre boisson tirée du raisin…
Le folate, ce n’est pas que pour les filles. Apathie, irritabilité et inquiétude sont en effet liées à un manque de cette vitamine – et vous qui pensiez que c’était seulement le boulot ! Une étude publiée dans la revue Public Health Nutrition a prouvé que les accès d’anxiété peuvent être dus à de faibles taux de folate dans le sang. Chassez donc le blues avec des brocolis ou des pois…
Nous savions déjà qu’elle renforce les os. Mais nous savons désormais que la vitamine D est vraisemblablement essentielle pour la santé de l’esprit. Selon le Health Supplements Information Service britannique, les adultes présentant un faible taux de vitamine D ont deux fois plus de risques de déclin mental. Les oeufs en contiennent beaucoup, de même que les poissons gras : une bonne excuse pour s’envoyer des oeufs de caille et du saumon fumé au petit déj…
Les glucides rapides constituent un carburant efficace pour les muscles, mais les aliments à index glycémique bas (à assimilation lente) sont meilleurs pour la concentration. Des scientifiques suédois ont étudié la mémoire et l’attention chez quarante personnes après deux petits déjeuners différents. Les meilleurs résultats ont été obtenus après celui à bas index glycémique : il permet de maintenir plus longtemps les niveaux de glucose dans le sang entre les repas. Alors mangez de… ? de l’av… ? Restez concentré : de l’avoine !
Remplacer le riz blanc par le riz brun aiderait à prévenir le diabète de type 2
Le miel certifié québécois est arrivé
Paru le 23 juin 2010
Par Bruno Geoffroy
Selon la filière apicole, la production de miel ne comble que de 20 à 25 % de la demande québécoise. Certains distributeurs n’hésitent pas à mélanger – la pratique est légale – des miels moins coûteux importés d’Argentine, d’Australie ou de l’Ouest canadien. Dans ces cas, la provenance réelle du produit est parfois indiquée en très petits caractères sur l’étiquette.
«Les membres de la Fédération ont donc demandé à ce qu’on différencie notre miel. C’est de cette volonté qu’est née la certification “Miel 100 % Québec”, une garantie pour le consommateur de l’origine et de la qualité du miel. Pour asseoir la crédibilité du logo, nous avons établi le cahier des charges avec le Bureau de normalisation du Québec. Sept producteurs sont déjà certifiés, d’autres sont en cours d’agrément», précise M. Doyon, lui-même producteur du Miel d’Émilie.
Dans tous les cas, ils conservent leur marque de commerce. Le logo «Miel 100 % Québec» s’ajoute simplement sur leurs pots. «Le logo sera mis en valeur à l’automne, notamment chez IGA. Un livret de recettes accompagnera aussi la promotion du produit. C’est une nécessité d’éduquer le consommateur», dit M. Doyon.
«Les producteurs de vrac peuvent aussi demander la certification. En cas de pénurie, un producteur pourra s’approvisionner chez un fournisseur certifié pour combler sa production. Il aura donc le droit d’afficher le logo “Miel 100 % Québec” sur ses contenants», indique Christian Macle, président d’Intermiel, une entreprise qui sera prochainement certifiée.
Deux certifications au rayon du miel
Pour promouvoir le miel québécois, encore faut-il qu’il soit visible dans les épiceries. C’est ce que vise aussi une dizaine de producteurs de vrac, membres des Ruchers du Québec, avec leur marque certifiée «PurQuébec». Dans ce cas, les pots seront tous étiquetés de la même manière, car les apiculteurs mettent leur miel en commun.
«La marque repose sur un cahier des charges qui garantit la qualité, la traçabilité et la provenance du miel.
À la différence de l’autre certification, nous interdisons l’utilisation de pesticides de synthèse», dit Jean-Pierre Chapleau, porte-parole du regroupement. Pour le moment, aucune entente n’a été conclue avec une grande chaîne de distribution.
«La certification nous donnera la plus-value nécessaire pour faire face aux lourdes pertes de notre cheptel. En moyenne, nous perdons 25 % de nos abeilles par an. Mais, avec deux types de certifications sur le marché, je crains que le consommateur s’y perde et que l’industrie apicole en sorte perdante», nuance toutefois M. Macle.